Nos problèmes sont les problèmes de 8 milliards d’humains et de toute la Vie qui les soutient.

Compte-tenu de la dégradation générale de notre monde, j’ai pris sur moi, de proposer la résolution de la cause prime en terme de résolution de nos problèmes humains de rapport au monde. Cette proposition n’est pas une solution miracle mais une solution adjointe à toutes celles qu’il nous faut encore développer. C’est l’exploration de ces solutions qui m’a fait comprendre que nous étions au seuil d’un changement évolutif. N’hésitez pas à vous approprier ce que j’ai mis à disposition sur ma page Facebook. https://www.facebook.com/nicolas.beullekens

Chers confrères scientifiques professionnels,

Je n’ai pas la prétention de vos spécialités respectives et c’est en tant que scientifique polymathe et amateur, que je vous présente ma nouvelle hypothèse concernant le genre humain.

J’ai découvert un élément fondamental en lien avec l’usage de l’outil, qui s’est renforcé par la pression sélective de l’agressivité. Cet élément est la dégradation fonctionnelle du pont cérébral, qui a eu pour conséquence de renforcer la dépendance cognitive à l’instant du présent. Le pont cérébral est la partie qui traite du rapport au monde. Ce rapport est constitué de trois espaces cognitifs correspondant à des dimensions d’espaces partiels. Une dimension pour le temps, une dimension spatio-temporelle fluctuante et une dimension pour l’espace. L’usage de l’outil nécessite, le basculement de la variable spatio-temporelle sur la dimension espace pour avoir un rapport au monde constitué d’une double dimensionnalité spatiale (l’espace de l’outil dans l’espace de l’action), au détriment de la dimensionnalité temporelle, qui s’en retrouve ainsi réduite. La conséquence de ce renforcement à l’espace, a été d’entrainer notre espèce, dans une spirale civilisationnelle, dont nous pouvons enfin mieux apprécier la part liée à l’agressivité et la part d’inspiration qu’il nous a été nécessaire, pour traverser cette épreuve évolutive initiée, il y a 2 millions d’années.

En conséquence, je soumets à l’approbation de mes chers confrères, de renommer notre espèce pour la faire correspondre à sa réalité historique. Je propose à la place d’Homo Sapiens Sapiens, le nom d’Homo Habilis Sapiens Bellicus, ainsi que la sous-espèce émergente Homo Habilis Sapiens Quanticus.

La différence fondamentale entre les deux espèces, est le recouvrement de fonction du pont cérébral et le développement d’une intelligence de type autistique, basée sur le temps objectif causal et non plus exclusivement, sur le temps chronologique. Le recouvrement de ce rapport au monde, implique également que l’Univers entier est quantique, à l’exception de l’influx nerveux cérébral, qui empêche de s’en apercevoir.

Malgré l’énormité de la remise en question que provoquera mes réflexions, je souhaite que vous les accueilliez avec toute la bienveillance qu’il m’a fallu pour les développer. Au final, cette explication permettra à l’homme de sortir avec fierté de son impasse évolutive, ou pas.