Boîte à suggestions - Général

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Construisons ensemble le monde de demain .

Hey Victor ?

Pas réveillé mon gars ? Faut embrasser la princesse puis au boulot …

Les accises en Belgique "La mafia est t'elle Belge" source de plusieurs producteurs italien

J'aimerais en parler du taux des accises en Belgique. Pourquoi autant de belges vont faire leurs courses à l'étranger? Nous perdons des rentrées sur la TVA, de l'Imposition, de l'Emploies, plus émissons de co², fraude dans le secteur Horeca. Voilà quelques millards de perdu en recette fiscale.

Voitures thermiques

Pour le secteur prive: prévoir des conditions au niveau National et Européen pour poursuivre la fabrication et la commercialisation de véhicules thermiques non polluants . Le tout à l'électrique n'est pas une bonne solution il faut garantir comme dans d'autres domaines la DIVERSITE. Guy Van Oycke

Estimation globale des "revenus" des "demandeurs d'emploi"

Bonjour, Je suis tout à fait d'accord avec votre démarche relative à la différence entre le salaire du travail et les allocations des "demandeur d'emploi". Toutefois, il faudrait chiffrer également l'entièreté des avantages collatéraux attribués au statut de "demandeur d'emploi", ils sont très nombreux et non financièrement négligeables. Bien à vous. JC Piron

Sortir le climat des contraintes de Maastricht: un enjeu national

Suggestion au MR, dans son programme électoral fédéral : De : André Dumont, ingénieur AIrBr ULB 1956, chargé de cours émérite à l’ULB. Le 12 janvier 2024. Transition énergétique et croissance, ensemble : il faut leur donner un nouveau cadre européen, hors des contraintes du Traité de Maastricht. Contexte de cette note. Je souscris sans réserve à la stratégie « nucléaire + renouvelable » et à l'acte de foi que cette stratégie peut être menée dans une atmosphère de croissance économique, loin de toute idée de frugalité et de privation. Dans les lignes qui suivent, je voudrais y apporter deux réflexions complémentaires qui, à mon humble avis, devraient trouver bonne place dans le discours électoral du MR. Je les ai souvent développées dans mes conférences au Collège Belgique de l'Académie, et dans mon livre « A la recherche du chaînon manquant ». Sur la nécessité de la croissance. Je pense que la démocratie ne survivra pas dans une ambiance de rationnement, même simplement de frugalité obligatoire. Jamais et nulle part la démocratie n'a résisté lorsque les citoyens ont dû accepter des frustrations, dans leurs désirs et plus encore dans leurs besoins de base : pensons à l'Allemagne de l'entre deux guerres, ou aux « printemps arabes » déçus. L'homme est ainsi fait qu'il n'est vertueux et altruiste que quand il a reçu sa part d'un gâteau qui grandit. Il n'est que de voir l'érosion actuelle des revenus du travail faire le lit des partis populistes. L'Occident doit liberté et bien-être à deux siècles de croissance. Si le MR partage mon analyse, il doit le marteler tout au long de sa campagne. Sur les conditions d'une croissance « vertueuse » Le discours précédent à peine diffusé, le MR encaissera le contre-feu des autres partis : il n'y a de croissance que sale – consumériste, aliénante – et en fidèle supporter de la rigueur Maastrichtienne, le MR a été le fossoyeur de la croissance. Ces deux arguments sont partiellement fondés et doivent être démontés. Il ne s'agit évidemment pas de recourir aux stimulants classiques d'encouragement à la consommation, d'autant plus que celle-ci s'alimente massivement de produits manufacturés non européens, donc participe peu à la croissance (au maintien) des revenus des Belges moyens. La nouvelle croissance se définira en se demandant pourquoi, de COP(n) en COP (n+x) les objectifs restent inaccessibles. Les manifestants climatophiles ont tort de réclamer inlassablement que les gouvernants se conscientisent : cette étape est franchie depuis longtemps. L'inaction vient du fait qu'il n'existe aucun outil institutionnel qui leur permette d'aller plus loin. C'est cette lacune qu'il importe de combler de toute urgence. Il est manifeste que si chacun – entreprise ou citoyen – reste dans son rôle actuel, tout en y appliquant au maximum les technologies les plus innovantes et une frugalité acceptable, les objectifs fixés par les climatologues et endossés par les gouvernants resteront inaccessibles. Pour les atteindre, il est nécessaire de réaliser des basculements impliquant plusieurs secteurs d'activité, par exemple : de la route vers le rail, de la production centralisée d'électricité vers une production diffuse, localement fluctuante. Les libéraux doivent se résigner à admettre que de telles mutations ne seront pas entreprises du seul fait de l'initiative privée : les systèmes nouveaux sont à concevoir à partir des objectifs climatiques, puis décomposés en sous-systèmes spécialisés pour s'intégrer dans le schéma industriel existant. Il y aura des mutations sociales à gérer. Et cela coûtera beaucoup d'argent, longtemps, avant que les innovations propres deviennent plus économiques que leurs concurrentes sales, amorties depuis longtemps et bien rodées. Les libéraux se rassureront en relisant leur maître Adam Smith : le père du libéralisme écrivait en son temps que la construction d'infrastructures – alors, routes et canaux – devait rester de la compétence des Etats. Ce que doit (au moins) réaliser le Green Deal. Je vais citer trois actions nécessaires si l'on veut atteindre les objectifs fixés tout en recréant une croissance économique – en limitant et en inversant si possible le déficit commercial avec la Chine : 1. la construction, au niveau continental, d'un réseau de transport d'électricité à mailles fines ; bidirectionnel de partout à partout, reconfigurable dans des délais extrêmement courts. Un tel réseau gommera les fluctuations des sources renouvelables : il y a du vent là où le soleil s'est caché. 2. le développement et la mise en service rapide des réacteurs nucléaires modulaires.Le remplacement d'énergies fossiles est conditionné à l'abondance d'électricité, dont la génération ne peut évidemment pas dépendre des mêmes sources fossiles. 3. le retour du fret et des voyageurs vers le rail. Quel que soit le carburant utilisé, une roue en acier roulant sur un rail lisse lui aussi en acier est beaucoup moins énergivore qu'un pneu souple sur une route rugueuse. Mais il faut compenser l'avantage de la route qui est la solution directe de porte à porte. Il faut recréer dans les petites et grandes villes des gares à marchandises qui seront les centres de distribution locale par petits véhicules électriques ; le maillage sera assuré par containerisation du transport et gares de triage robotisées. Même philosophie pour le transport des voyageurs, de leurs bagages et de leur voiture : la grande autonomie électrique coûte très cher. Ce que nous devons donner à l'Europe – ce qu'avaient Roosevelt et JFK. Nos concurrents, au contraire de l'Union Européenne, sont des Etats disposant de tous les outils adéquats pour élaborer un projet multidisciplinaire et gérer sa réalisation par l'industrie nationale. Quand JFK a décider le voyage vers la lune, la NASA était là et elle avait l'habitude de gérer l'industrie aérospatiale américaine. Ajoutons que la FED a docilement imprimé tous les $ nécessaires. En 1930 le scénario était identique pour F.D.Roosevelt. Et dans les deux cas aucune entreprise étrangère n'avait droit à une part. Dans les deux cas cités le succès a été double : l'objectif fonctionnel a été atteint, et la croissance a été relancée. Voilà donc le modèle que l'Europe doit suivre aujourd'hui – dans toutes ses composantes : la solution doit être européenne ; un organisme communautaire doit être créé ou développé, pour traduire les objectifs climatiques en cahiers de charges spécialisés, lisibles par les entreprises de chaque domaine ; il sera alimenté par des mécanismes extérieurs aux budgets communautaire et nationaux, et sera le client des industriels européen, les paiera, pourra émettre des obligations de très longue durée, la BCE intervenant en prêteur en dernier recours - comme elle l'a fait pour les banquiers ; il installera les solutions développées ; ses contrats seront réservés aux entreprises européennes. Il saute aux yeux que les missions listées ci-dessus sont celles qu'assuraient jadis les opérateurs nationaux de services publics. Ecrivez SNCF et Alstom dans les lignes ci-dessus, vous écrirez l'histoire du TGV. Deux différences fondamentales existent entre cette histoire et la situation d'aujourd'hui : les opérateurs disposaient des revenus d'exploitation de leurs solutions classiques ; dans la vague Reagan /Thatcher des années1980, ces opérateurs nationaux ont été bridés car soi-disant inutiles et même nuisibles dans la marche vers le Marché unique européen. Cette dernière disposition était défendable si et seulement si tous les intervenants de la zone de commerce l'adoptaient et la respectaient, et si le montant des investissements futurs était compatible avec les exigences des investisseurs privés. Au même moment la zone de libre commerce s'est étendue à la planète entière - donc à des Etats qui interviennent vigoureusement dans leur économie, et dans celle du monde. Aujourd'hui le décalage en montant et en délai de rentabilité entre les exigences des investisseurs privés et les coûts des infrastructures nouvelles est tel que, comme on peut le constater , les initiatives réclamées pour des motifs « éthiques » ou « sociétaux » ne se dessinent pas : contrairement au discours climatophile, il ne s'agit pas d'un manque de sensibilisation ou de conscience : la raison est structurelle – relire A.Smith.. Une initiative nationale s'impose. A longueur de législature, les citoyens ont entendu leurs gouvernants répéter inlassablement le même alibi pour expliquer leur pingrerie en matière d'investissements publics : ils sont pieds et poings liés par le Pacte de stabilité conclu à Maastricht, contre lequel les gouvernements nationaux n'ont aucun pouvoir. Cet argument est fallacieux : le pouvoir dans l'Union Européenne appartient in fine au Conseil des chefs des gouvernements nationaux, lesquels sont élus dans leur pays respectif et ne sont pas responsables devant le Parlement Européen. C'est donc en fait via ses élections nationales que le citoyen exerce un pouvoir sur la marche de l'Union. C'est donc dans la campagne électorale nationale que le débat doit trouver sa place. Tel est mon message au MR, en ces prochains mois où en plus la Belgique assure la présidence tournante de l'Union : il est urgent que les modifications au Pacte de stabilité nécessitées par le sauvetage du climat, la réforme de la mobilité, la transition énergétique, soient lancées par la volonté des gouvernants nationaux. Les citoyens les moins au fait des mécanismes communautaires sont conscients que c'est la que se trouve la clé d'un futur sans privation. Je voudrais que le MR centre sa campagne nationale sur l'Europe, et se démarque ainsi du bourbier où se perdront les autres partis, entre recettes éculées et promesses illusoires. Si l'on suit ma recommandation, et si le futur Gouvernement fédéral en fait son affaire, il pourra prendre langue avec d'autres Gouvernements nationaux, et oeuvrer à la constitution d'une entente plurinationale. Nous sommes loin d'être le seul Etat qui se débat dans des impasses budgétaires, avant même d'avoir entamé les investissements climatiques réclamés. Sans plus attendre, notre ministre des affaires étrangères devrait au moins préparer le terrain avec ses collègues : elle enfoncera pas mal de portes ouvertes. Ce stade plurinational n'a rien d'anti-européen, au contraire. Dans les temps historiques, CECA et EURATOM ont été signés comme des traités spécialisés, avant le Traité de Rome. Ariane est née franco-germano-belge avant de devenir européenne. Je ne vois aucune autre piste pour la marche en avant . André Dumont

Arrêt indépendant

Est-il normal qu'un indépendant qui arrête ses activités après plus de 20 ans n'ai droit à rien!

Inclusion

Société plus juste: oui, cela suppose une inclusion des franges de la population qui peuvent être stigmatisées: aînés (âgisme), personnes en situation de handicap - PSH ("peur" de l'autre), jeunes en décrochage scolaire, etc (et il y en a beaucoup). Par exemple comment ne pas pénaliser financièrement une PSH qui veut lancer une entreprise (oui, ça existe!). Quelles approches utiliser pour favoriser cette inclusion? Des idées existent comme les bibliothèques vivantes / humaines développées au Danemark. Une réflexion à approfondir sur base des initiatives qui existent déjà...

Soins de santé mental

La société actuelle vit des moments difficiles. De nombreux adolescents et jeunes personnes éprouvent d'énormes difficultés mentales. L'accès aux soins psychologiques sont limités car seulement un certain nombre de séance, chez un psychologue, est pris partiellement en charge par les mutuelles. Seulement quelques uns ont droit au remboursement quasi total du prix des séances via INAMI. Je pense que le MR devrait avoir une réflexion afin que l'INAMI puisse prendre complètement en charge les soins dispensés par un psychologue.

Chômage - mutuelle - Pensions

Un système à réfléchir... La liberté de travail va envers un droit de revenus à la hauteur de ses talant ! Mais la Liberté d'arrêter de travailler peut-être aussi une options si le travail n'est pas toujours ces loisirs ni son hobby ... Je suggère un revenus universel de base avec une croissance par année de travail pour tous, "indépendant, fonctionnaires comme employé. Exemple 1200 € de bases + 50€ par mois en plus par année de travail. - Se système permet de diminuer le nombre de service d'état pour chaque structures car trois système financier disparaîtront . - un calcul simple pour tous pour connaître leur revenus de bases. - permet un pouvoir à l'employé à exigé un salaire à la hauteur de sont ancienneté et de ne pas se faire abusé par peurs de perdre son d'emploi ! - finis l'administration lourds pour obtenir un chômage mutuelle où pensions avec les erreur qui en déroule.

conseil communal

je suggère que le compte-rendu des réunions du conseil communal soit publié intégralement sur Facebook, ceci pour ceux qui ne sont pas abonnés à Vers l'Avenir

JUSTICE

Ancienne avocate, j'ai constaté que le travail de l'auditorat et du tribunal du travail s'était considérablement réduit depuis les dernières réformes ( contrainte et non plus citation pour l'ONSS, les caisses d'allocations familiales... par exemple; de sorte qu'en l'absence de recours de l'assuré social ( assez rare et se bornant parfois à des termes et délais refusés par l’huissier) , l'affaire ne vient plus devant le tribunal). Le volet plus spécifique de l'AMI (mutuelle-Inami)a ainsi été considérablement été réduit quant aux recouvrements d'indu. Seules restent les contestations de remise au travail avec souvent des débats se limitant à la désignation d'un expert médical puis à l'entérinement de son rapport , peu d'entre eux étant sérieusement contestés. Il reste des litiges en matière de contrat eux aussi réduits tenant compte des médiations-concertations ( MARC, mode alternatif de règlement amiable et les litiges relatifs aux accidents de travail . Les litiges relatifs aux élections sociales sont ponctuels. Quant aux règlements collectifs de dettes, ceux-ci nécessitent peu de travail juridique du magistrat ( désignation du médiateur, entérinement de son plan ou imposition du plan judiciaire) puisque l’essentiel du travail est réalisé par le médiateur). Seuls quelques contestations font l'objet d'une décision. Les statistiques relatives aux RCD sont "gonflées" puisqu'il y a de nombreux jugements de désignation puis d'entérinement ou d'imposition de plan et des jugements ne visant que la taxation des honoraires et frais du médiateur. Bref alors que les parquets et tribunaux de première instance sont débordés, ne serait-il pas temps d'intégrer l'auditorat au parquet et de fusionner les deux tribunaux pour plus d'efficacité et de lutte contre l'arriéré judiciaire de certains tribunaux?

Les Seniors ont beaucoup à donner par leur expérience

la "retraite" est un vain mot ! parlons de troisième Vie et travaillons à une société inclusive où les aînés soutiennent les plus jeunes!

ponctualité des trains

vous pourriez aussi faire une affuche sur la ponctualité des trains ... et les greves ... geré par Ecolo

Affiche - Good Bad move

J'espère que vous allez produire une affiche sur le le BAD move - vert: moins d'émission de CO2 -> Plus d'embouteillage

Pression fiscale !

PME dans le secteur de la logistique, je m'inquiète de la future obligation de facture électronique imposée via un portail de l'administration. Premièrement, nous avons des logiciels de gestion complexes qui ont déjà nécessité un investissement de plus de 350 000 €. Deuxièmement, on va imposer à 100 % des assujettis B2B d'envoyer leurs factures uniquement via un système uniquement dans le but de flicage et de contrôle en temps réel des entreprises... Nous allons devoir payer des services à X pour le système d'envoi et encore payer pour adapter nos systèmes une charge qui sur une prestation facturée 100 € ampute encore le bénéfice de la folie. Et là, cela sera encore une autre histoire : comment l'entreprise britannique qui développe nos logiciels va-t-elle obtenir les informations et à quel tarif elle va nous facturer ? Bref, les politiques, qui vote des mesures, ne semble pas prendre en compte les risques réels pour les entreprises qui devront mettre en œuvre ces mesures qui entache encore leur bénéfice, la compétitive. Après cela, cela va occasionner des millions de pertes à tous les niveaux pour quel but ? Une hypothétique lutte contre la fraude est le motif ? Cela semble farfelu, étant donné que déjà l'entreprise A déclaré la vente et B déclare la récupération, donc le système anti-fraude existe déjà. Comme pour tout, les fraudeurs s'adaptent, mais les autres subissent la charge les pertes les problèmes ! Alors, au lieu de rendre obligatoire, le choix d'entreprendre s'impose et certainement pas pour des petites factures.

Promeneurs et chasseurs, bien-être animal

J'ai été temoin dernièrement de joutes verbales entre des promeneurs et des chasseurs. J'ai vu des promeneurs avec leurs chiens empruntant des chemins agricoles ou circulant librement dans des bois privés. Ces promeneurs se disent souvent protecteurs de animaux mais qu'en est-il du dérangement causé par leur présence et surtout celle de chiens non tenus en laisse surtout en période de nidification. Ne serait-il pas interessant de cadaster officiellement les chemins agricoles en acceptant ou interdisant la promenade ?

Déséquilibre de la faune de nos campagnes

Les règles européennes sur la protection de certaines espèces et l'usage de pesticides moins nocifs ont permis un repeuplement. Toutefois, au fil des ans, nous constatons du surnombre. C'est le cas des corvidés et des rapaces. Ces deux espèces sont de prédateurs pour les oiseaux de nos campagnes et le petit gibier. En plus, le corvidé détruit les semis et cause des problèmes de nuisance sonore. Colombophile, je peux vous affirmer que les rapaces causent un dégat énorme lors de l'apprentissage de nos jeunes pigeons de février à fin avril. Par rapport au déséquilibre, je pointe aussi l'évolution du nombre de renards. J'entends que sur des territoires de chasse en Wallonie Picarde une quarantaine de renards sont tués par an soit un impact de 140 renards qui ne verront pas le jour (20 femelles X 7 jeunes par nichée). Comment agir ?

Un enseignement d'excellence, vraiment?

Bonjour, Je suis étonnée que les CPMS ne soient pas représentés dans votre panel d'interlocuteurs. Ils sont pourtant des acteurs de première ligne pour aider et soutenir parents et élèves. De plus, ils sont vraiment maltraités par WBE, tant les agents techniques (AS, PSY, Infirmières), que le personnel administratif, sous payés et corvéable à merci. Belle journée

La justice en Belgique

La justice enjeu de notre société SPF qui traine à se mettre au goût du jour, des procédures complexes (actes de sociétés, BCE) des services qui fonctionnent de manière archaïque, l’informatisation de certains services datent de 1990, avec quelques mises à jour mais le papier reste indispensable, du personnel désabusé et pas écouté. Des bâtiments peu fonctionnels et souvent en mauvais état par manque d’entretien courant (nettoyage, éclairage déficient, entretien des abords pas fait, …)

Augmentation inquiétante CPAS.

Mesdames, Messieurs, Je pense que nous devons évoquer le sujet des allocataires du système (avec aucune raison à priori). Les CPAS sont pleins. Le personnel part en burn-out. Cela devient urgent à mettre sur le tapis. Revoir le plan d'intégration sociale aussi. En espérant un retour. Bien cordialement. Schrijvers Benoît.