Boîte à suggestions - Général

Nous sommes à votre écoute ! 

Envoyez-nous vos projets de société, vos demandes et vos interrogations et nous vous ferons un plaisir d'en discuter avec vous.

Construisons ensemble le monde de demain .

concertation

Je trouve que les idées que vous défendez sont formidables mais il me semble que pour avancer dans l'élaboration de vos projets il est primordial de rencontrer des gens de terrain et non pas des académiciens qui sont rarement confrontés à la réalité des choses.

Test de perceptions des risques

Supprimez le test de perceptions des risques : il est plus efficace et logique d'évaluer la perception des risques sur le terrain durant le test pratique, plutôt que sur une simulation où la réussite dépend du moment où l'on clique sur la souris. Ce test fait peut-être rentrer de l'argent dans les caisses de l'État, mais il constitue également un -repoussoir de trop pour obtenir le permis de conduire, qui est parfois indispensable pour trouver un emploi. Bref, Il y a d'autres arguments valables pour la suppression de ce test. Je vous encourage à vous y intéresser. Cordialement

Services en lien avec les permis d'urbanisme

Il y a 30 ans, obtenir un permis d'urbanisme était une formalité. Aujourd'hui, c'est devenu le parcours du combattant tant au niveau de la multiplication des intervenants que des délais préjudiciables à l'entière faisabilité financière du projet. En tant que citoyen, j'ai du constater un manque de transparence flagrant qui laissent à penser à du "copinage" d'un autre temps! Bien à vous

Conditions des femmes en Belgique

Je suis au regret de constater que notre société tolérante permet aux extrémistes de tout bord d'imposer des comportements notamment vestimentaires rétrogrades pour les femmes et qui progressivement deviennent déjà la règle dans certains quartiers. Le jour ou ma fille de 12 ans devra, pour sa sécurité, adopter ces comportements, nous n'aurons d'autre choix que de déménager et si nécessaire à l'étranger. Merci pour vos bons soins

Critique article paru dans L'Echo du 21.06.24

Bonjour, je souhaite réagir à la lecture de l'article "Les Engagés et le MR vont-ils abolir la méritocratie?" paru dans L'Echo de ce 21.06.24. Cet article est rédigé par M. David Méndez Yépez membre du Groupe du Vendredi. En quelques mots, l'auteur prétend que le fait de baisser la fiscalité sur les droits de succession va tuer la méritocratie. Je regrette: 1 . que son analyse ne prenne en compte que la génération qui va hériter et non celle qui va donner. La fiscalité actuelle tue, selon moi, la méritocratie des parents qui souhaitent travailler davantage pour mettre leurs enfants à l'abri et leur transmettre un petit matelas de sécurité; 2. L'auteur semble partir du principe que les héritiers vont mener une vie de paresse. C'est fort réducteur. Dans beaucoup de cas, cet argent va permettre à de jeunes entrepreneurs de lancer un business et de contribuer à la bonne santé de l'économie du pays... Voilà, j'espère que ces quelques réflexions vous seront utiles. Bien à vous, François Godard

Plafond des allocations de chômage

Je trouve que le plafond des allocations de chômage est une aberration. Car si quelqu'un qui touche le salaire minimum peut encore s'en sortir, imaginer quelqu'un qui gagne bien sa vie, mettons 6000 ou 7000 nets par mois, et qui a donc des charges en rapport (par exemple, un loyer de 2000 euros, 500 euros pour le leasing de la voiture, etc. Eh bien en cas de chômage, s'il ne trouve pas un autre job dans les 2 ou 3 mois, il est fichu! Ce que je suggère, c'est une allocation de chômage non plafonnée, à 100% du salaire les premiers mois, avec en contrepartie la suppression des indemnitees de licenciement, ce qui faciliterait l'embauche, et de vraies formations offertes par le FOREM, pouvant aller jusqu'à une reprise des études, à l'université par exemple, en horaire de jour, et le versement des allocations durant ces études à condition d'assiduité et de résultats probants.

Frontex

Si j'en crois les informations que j'aitrouvées, il y aurait 2000 agents FRONTEX pour environ 50.000 kilomètres de frontière (en incluant les frontières maritimes).A titre de comparaison, aux USA, ils sont environ 60.000 agents des douanes pour moins de 20.000 kilomètres de frontières terrestres et maritimes. Bref, 30 fois plus d'agents pour presque 3 fois moins de frontières. Je pense donc qu'il faudrait faire de FRONTEX une organisation puissante, qui serait en charge de toutes les frontières externes, y compris dans les aéroports. Ainsi, à Zaventem, à Charles de Gaulle, les douaniers pour les vols hors UE ne devraient pas être Belges ou Français mais Européens, portant l'uniforme de FRONTEX

Logement

Le manque de logements décent à un tarif abordable grandit sans cesse. Depuis 25 ans, j'ai une idée intéressante mais aucun parti n'a jamais fait de ce thème un cheval de bataille, privilégiant l'accès à la propriété. L'idée est de permettre en partie une déduction fiscale sur le loyer à condition de mentionner l'adresse du bien et les coordonnées du propriétaire. Ainsi, On permet un contrôle croisé et on alimente une base de données des propriétaires. On lutte aussi contre les marchands de sommeil. Pour financer ça, on prélève une taxe de 1% supérieure aux propriétaires. Dans le même temps, on ne doit plus permettre la mise en location de biens dont les intérêts hypothécaires n'ont pas été soldés. L'idée est que le bien soit payé aux 2/3 pour pouvoir être mis en location et éviter ainsi que des gens s'enrichissent sur le dos des pauvres. A côté de ça, il est aussi nécessaire de pouvoir faire évacuer plus rapidement et plus facilement un bien lorsqu'il est avéré que le locataire détruit ou rend le bien insalubre. S'il faut aider les locataires, il faut aussi soutenir les propriétaires. Il faudrait aussi pouvoir mettre plus facilement son bien dans les mains de AIS ou sociétés de logements sociaux, par exemple en laissant la possibilité au propriétaire de choisir le locataire pour autant qu'il entre dans les conditions pour l'octroi d'un tel logement. La déduction du précompte immobilier est insuffisant.

Pénibilité des métiers et pensions

Bonjour, Je suis pompier depuis 30 ans et mon épouse infirmière depuis 33 ans. Nous avons continué à travailler avec des mesures particulières lors du Covid 19 et nous avons remarqué une chose, la fatigue physique et psychologique n'ont fait que s’accroître. Nous travaillons dans des secteurs qui ne permettent pas de prester jusqu'à 67 ans (j'invite tout un chacun de venir travailler une année dans nos services) et nous sommes de plus en plus épuisés au fur et à mesure que les années passent. On a promis monts et merveilles pour la réforme des pensions avec un départ plus tôt das certains métiers mais le constat final a été rien sauf.... des applaudissements. A quand un VRAIE valorisation des métiers pénibles avec la possibilité de partir à la retraite plus tôt, à quand une VRAIE valorisation barémique de certains de ces métiers (l'échelle ific pour le personnel soignant n'est pas bénéfique pour tous, ma femme perd près de300 euros par mois si elle prend cette échelle !) bref, à quand une prise en compte de la pénibilité dans la réforme des pensions ? Il est grand temps d'agir car il en va de la santé de travailleurs qui ne sont pas assis derrière un bureau ou un guichet mais de personnes qui mettent leur vie en jeu pour aider celle des autres ! Si rien ne change à la prochaine législature, que va-t-il se passer ? Ce sera la remise de certificats médicaux pour fatigue excessive, fatigue psychologique, burn-out (je déteste ce mot car certains en abusent), dépression,... Aidez-nous, aidez ceux qui ont aidez les autres durant toute leur carrière, durant toutes leur vie (et qui ne peuvent au final pas profiter d'une retraite décente).

Hey Victor ?

Pas réveillé mon gars ? Faut embrasser la princesse puis au boulot …

Les accises en Belgique "La mafia est t'elle Belge" source de plusieurs producteurs italien

J'aimerais en parler du taux des accises en Belgique. Pourquoi autant de belges vont faire leurs courses à l'étranger? Nous perdons des rentrées sur la TVA, de l'Imposition, de l'Emploies, plus émissons de co², fraude dans le secteur Horeca. Voilà quelques millards de perdu en recette fiscale.

Voitures thermiques

Pour le secteur prive: prévoir des conditions au niveau National et Européen pour poursuivre la fabrication et la commercialisation de véhicules thermiques non polluants . Le tout à l'électrique n'est pas une bonne solution il faut garantir comme dans d'autres domaines la DIVERSITE. Guy Van Oycke

Estimation globale des "revenus" des "demandeurs d'emploi"

Bonjour, Je suis tout à fait d'accord avec votre démarche relative à la différence entre le salaire du travail et les allocations des "demandeur d'emploi". Toutefois, il faudrait chiffrer également l'entièreté des avantages collatéraux attribués au statut de "demandeur d'emploi", ils sont très nombreux et non financièrement négligeables. Bien à vous. JC Piron

Sortir le climat des contraintes de Maastricht: un enjeu national

Suggestion au MR, dans son programme électoral fédéral : De : André Dumont, ingénieur AIrBr ULB 1956, chargé de cours émérite à l’ULB. Le 12 janvier 2024. Transition énergétique et croissance, ensemble : il faut leur donner un nouveau cadre européen, hors des contraintes du Traité de Maastricht. Contexte de cette note. Je souscris sans réserve à la stratégie « nucléaire + renouvelable » et à l'acte de foi que cette stratégie peut être menée dans une atmosphère de croissance économique, loin de toute idée de frugalité et de privation. Dans les lignes qui suivent, je voudrais y apporter deux réflexions complémentaires qui, à mon humble avis, devraient trouver bonne place dans le discours électoral du MR. Je les ai souvent développées dans mes conférences au Collège Belgique de l'Académie, et dans mon livre « A la recherche du chaînon manquant ». Sur la nécessité de la croissance. Je pense que la démocratie ne survivra pas dans une ambiance de rationnement, même simplement de frugalité obligatoire. Jamais et nulle part la démocratie n'a résisté lorsque les citoyens ont dû accepter des frustrations, dans leurs désirs et plus encore dans leurs besoins de base : pensons à l'Allemagne de l'entre deux guerres, ou aux « printemps arabes » déçus. L'homme est ainsi fait qu'il n'est vertueux et altruiste que quand il a reçu sa part d'un gâteau qui grandit. Il n'est que de voir l'érosion actuelle des revenus du travail faire le lit des partis populistes. L'Occident doit liberté et bien-être à deux siècles de croissance. Si le MR partage mon analyse, il doit le marteler tout au long de sa campagne. Sur les conditions d'une croissance « vertueuse » Le discours précédent à peine diffusé, le MR encaissera le contre-feu des autres partis : il n'y a de croissance que sale – consumériste, aliénante – et en fidèle supporter de la rigueur Maastrichtienne, le MR a été le fossoyeur de la croissance. Ces deux arguments sont partiellement fondés et doivent être démontés. Il ne s'agit évidemment pas de recourir aux stimulants classiques d'encouragement à la consommation, d'autant plus que celle-ci s'alimente massivement de produits manufacturés non européens, donc participe peu à la croissance (au maintien) des revenus des Belges moyens. La nouvelle croissance se définira en se demandant pourquoi, de COP(n) en COP (n+x) les objectifs restent inaccessibles. Les manifestants climatophiles ont tort de réclamer inlassablement que les gouvernants se conscientisent : cette étape est franchie depuis longtemps. L'inaction vient du fait qu'il n'existe aucun outil institutionnel qui leur permette d'aller plus loin. C'est cette lacune qu'il importe de combler de toute urgence. Il est manifeste que si chacun – entreprise ou citoyen – reste dans son rôle actuel, tout en y appliquant au maximum les technologies les plus innovantes et une frugalité acceptable, les objectifs fixés par les climatologues et endossés par les gouvernants resteront inaccessibles. Pour les atteindre, il est nécessaire de réaliser des basculements impliquant plusieurs secteurs d'activité, par exemple : de la route vers le rail, de la production centralisée d'électricité vers une production diffuse, localement fluctuante. Les libéraux doivent se résigner à admettre que de telles mutations ne seront pas entreprises du seul fait de l'initiative privée : les systèmes nouveaux sont à concevoir à partir des objectifs climatiques, puis décomposés en sous-systèmes spécialisés pour s'intégrer dans le schéma industriel existant. Il y aura des mutations sociales à gérer. Et cela coûtera beaucoup d'argent, longtemps, avant que les innovations propres deviennent plus économiques que leurs concurrentes sales, amorties depuis longtemps et bien rodées. Les libéraux se rassureront en relisant leur maître Adam Smith : le père du libéralisme écrivait en son temps que la construction d'infrastructures – alors, routes et canaux – devait rester de la compétence des Etats. Ce que doit (au moins) réaliser le Green Deal. Je vais citer trois actions nécessaires si l'on veut atteindre les objectifs fixés tout en recréant une croissance économique – en limitant et en inversant si possible le déficit commercial avec la Chine : 1. la construction, au niveau continental, d'un réseau de transport d'électricité à mailles fines ; bidirectionnel de partout à partout, reconfigurable dans des délais extrêmement courts. Un tel réseau gommera les fluctuations des sources renouvelables : il y a du vent là où le soleil s'est caché. 2. le développement et la mise en service rapide des réacteurs nucléaires modulaires.Le remplacement d'énergies fossiles est conditionné à l'abondance d'électricité, dont la génération ne peut évidemment pas dépendre des mêmes sources fossiles. 3. le retour du fret et des voyageurs vers le rail. Quel que soit le carburant utilisé, une roue en acier roulant sur un rail lisse lui aussi en acier est beaucoup moins énergivore qu'un pneu souple sur une route rugueuse. Mais il faut compenser l'avantage de la route qui est la solution directe de porte à porte. Il faut recréer dans les petites et grandes villes des gares à marchandises qui seront les centres de distribution locale par petits véhicules électriques ; le maillage sera assuré par containerisation du transport et gares de triage robotisées. Même philosophie pour le transport des voyageurs, de leurs bagages et de leur voiture : la grande autonomie électrique coûte très cher. Ce que nous devons donner à l'Europe – ce qu'avaient Roosevelt et JFK. Nos concurrents, au contraire de l'Union Européenne, sont des Etats disposant de tous les outils adéquats pour élaborer un projet multidisciplinaire et gérer sa réalisation par l'industrie nationale. Quand JFK a décider le voyage vers la lune, la NASA était là et elle avait l'habitude de gérer l'industrie aérospatiale américaine. Ajoutons que la FED a docilement imprimé tous les $ nécessaires. En 1930 le scénario était identique pour F.D.Roosevelt. Et dans les deux cas aucune entreprise étrangère n'avait droit à une part. Dans les deux cas cités le succès a été double : l'objectif fonctionnel a été atteint, et la croissance a été relancée. Voilà donc le modèle que l'Europe doit suivre aujourd'hui – dans toutes ses composantes : la solution doit être européenne ; un organisme communautaire doit être créé ou développé, pour traduire les objectifs climatiques en cahiers de charges spécialisés, lisibles par les entreprises de chaque domaine ; il sera alimenté par des mécanismes extérieurs aux budgets communautaire et nationaux, et sera le client des industriels européen, les paiera, pourra émettre des obligations de très longue durée, la BCE intervenant en prêteur en dernier recours - comme elle l'a fait pour les banquiers ; il installera les solutions développées ; ses contrats seront réservés aux entreprises européennes. Il saute aux yeux que les missions listées ci-dessus sont celles qu'assuraient jadis les opérateurs nationaux de services publics. Ecrivez SNCF et Alstom dans les lignes ci-dessus, vous écrirez l'histoire du TGV. Deux différences fondamentales existent entre cette histoire et la situation d'aujourd'hui : les opérateurs disposaient des revenus d'exploitation de leurs solutions classiques ; dans la vague Reagan /Thatcher des années1980, ces opérateurs nationaux ont été bridés car soi-disant inutiles et même nuisibles dans la marche vers le Marché unique européen. Cette dernière disposition était défendable si et seulement si tous les intervenants de la zone de commerce l'adoptaient et la respectaient, et si le montant des investissements futurs était compatible avec les exigences des investisseurs privés. Au même moment la zone de libre commerce s'est étendue à la planète entière - donc à des Etats qui interviennent vigoureusement dans leur économie, et dans celle du monde. Aujourd'hui le décalage en montant et en délai de rentabilité entre les exigences des investisseurs privés et les coûts des infrastructures nouvelles est tel que, comme on peut le constater , les initiatives réclamées pour des motifs « éthiques » ou « sociétaux » ne se dessinent pas : contrairement au discours climatophile, il ne s'agit pas d'un manque de sensibilisation ou de conscience : la raison est structurelle – relire A.Smith.. Une initiative nationale s'impose. A longueur de législature, les citoyens ont entendu leurs gouvernants répéter inlassablement le même alibi pour expliquer leur pingrerie en matière d'investissements publics : ils sont pieds et poings liés par le Pacte de stabilité conclu à Maastricht, contre lequel les gouvernements nationaux n'ont aucun pouvoir. Cet argument est fallacieux : le pouvoir dans l'Union Européenne appartient in fine au Conseil des chefs des gouvernements nationaux, lesquels sont élus dans leur pays respectif et ne sont pas responsables devant le Parlement Européen. C'est donc en fait via ses élections nationales que le citoyen exerce un pouvoir sur la marche de l'Union. C'est donc dans la campagne électorale nationale que le débat doit trouver sa place. Tel est mon message au MR, en ces prochains mois où en plus la Belgique assure la présidence tournante de l'Union : il est urgent que les modifications au Pacte de stabilité nécessitées par le sauvetage du climat, la réforme de la mobilité, la transition énergétique, soient lancées par la volonté des gouvernants nationaux. Les citoyens les moins au fait des mécanismes communautaires sont conscients que c'est la que se trouve la clé d'un futur sans privation. Je voudrais que le MR centre sa campagne nationale sur l'Europe, et se démarque ainsi du bourbier où se perdront les autres partis, entre recettes éculées et promesses illusoires. Si l'on suit ma recommandation, et si le futur Gouvernement fédéral en fait son affaire, il pourra prendre langue avec d'autres Gouvernements nationaux, et oeuvrer à la constitution d'une entente plurinationale. Nous sommes loin d'être le seul Etat qui se débat dans des impasses budgétaires, avant même d'avoir entamé les investissements climatiques réclamés. Sans plus attendre, notre ministre des affaires étrangères devrait au moins préparer le terrain avec ses collègues : elle enfoncera pas mal de portes ouvertes. Ce stade plurinational n'a rien d'anti-européen, au contraire. Dans les temps historiques, CECA et EURATOM ont été signés comme des traités spécialisés, avant le Traité de Rome. Ariane est née franco-germano-belge avant de devenir européenne. Je ne vois aucune autre piste pour la marche en avant . André Dumont

Arrêt indépendant

Est-il normal qu'un indépendant qui arrête ses activités après plus de 20 ans n'ai droit à rien!

Inclusion

Société plus juste: oui, cela suppose une inclusion des franges de la population qui peuvent être stigmatisées: aînés (âgisme), personnes en situation de handicap - PSH ("peur" de l'autre), jeunes en décrochage scolaire, etc (et il y en a beaucoup). Par exemple comment ne pas pénaliser financièrement une PSH qui veut lancer une entreprise (oui, ça existe!). Quelles approches utiliser pour favoriser cette inclusion? Des idées existent comme les bibliothèques vivantes / humaines développées au Danemark. Une réflexion à approfondir sur base des initiatives qui existent déjà...

Soins de santé mental

La société actuelle vit des moments difficiles. De nombreux adolescents et jeunes personnes éprouvent d'énormes difficultés mentales. L'accès aux soins psychologiques sont limités car seulement un certain nombre de séance, chez un psychologue, est pris partiellement en charge par les mutuelles. Seulement quelques uns ont droit au remboursement quasi total du prix des séances via INAMI. Je pense que le MR devrait avoir une réflexion afin que l'INAMI puisse prendre complètement en charge les soins dispensés par un psychologue.

Chômage - mutuelle - Pensions

Un système à réfléchir... La liberté de travail va envers un droit de revenus à la hauteur de ses talant ! Mais la Liberté d'arrêter de travailler peut-être aussi une options si le travail n'est pas toujours ces loisirs ni son hobby ... Je suggère un revenus universel de base avec une croissance par année de travail pour tous, "indépendant, fonctionnaires comme employé. Exemple 1200 € de bases + 50€ par mois en plus par année de travail. - Se système permet de diminuer le nombre de service d'état pour chaque structures car trois système financier disparaîtront . - un calcul simple pour tous pour connaître leur revenus de bases. - permet un pouvoir à l'employé à exigé un salaire à la hauteur de sont ancienneté et de ne pas se faire abusé par peurs de perdre son d'emploi ! - finis l'administration lourds pour obtenir un chômage mutuelle où pensions avec les erreur qui en déroule.

conseil communal

je suggère que le compte-rendu des réunions du conseil communal soit publié intégralement sur Facebook, ceci pour ceux qui ne sont pas abonnés à Vers l'Avenir

JUSTICE

Ancienne avocate, j'ai constaté que le travail de l'auditorat et du tribunal du travail s'était considérablement réduit depuis les dernières réformes ( contrainte et non plus citation pour l'ONSS, les caisses d'allocations familiales... par exemple; de sorte qu'en l'absence de recours de l'assuré social ( assez rare et se bornant parfois à des termes et délais refusés par l’huissier) , l'affaire ne vient plus devant le tribunal). Le volet plus spécifique de l'AMI (mutuelle-Inami)a ainsi été considérablement été réduit quant aux recouvrements d'indu. Seules restent les contestations de remise au travail avec souvent des débats se limitant à la désignation d'un expert médical puis à l'entérinement de son rapport , peu d'entre eux étant sérieusement contestés. Il reste des litiges en matière de contrat eux aussi réduits tenant compte des médiations-concertations ( MARC, mode alternatif de règlement amiable et les litiges relatifs aux accidents de travail . Les litiges relatifs aux élections sociales sont ponctuels. Quant aux règlements collectifs de dettes, ceux-ci nécessitent peu de travail juridique du magistrat ( désignation du médiateur, entérinement de son plan ou imposition du plan judiciaire) puisque l’essentiel du travail est réalisé par le médiateur). Seuls quelques contestations font l'objet d'une décision. Les statistiques relatives aux RCD sont "gonflées" puisqu'il y a de nombreux jugements de désignation puis d'entérinement ou d'imposition de plan et des jugements ne visant que la taxation des honoraires et frais du médiateur. Bref alors que les parquets et tribunaux de première instance sont débordés, ne serait-il pas temps d'intégrer l'auditorat au parquet et de fusionner les deux tribunaux pour plus d'efficacité et de lutte contre l'arriéré judiciaire de certains tribunaux?